La vie sexuelle de nos contemporains est-elle un facteur de risque de mortalité ? Une étude de la British Medical Association (BMA) publiée vendredi 26 octobre a tenté de répondre à cette question. La question a pris une dimension toute particulière, puisque les chercheurs ont évalué les risques de mortalité liés à différents facteurs de risques comportementaux, et plus précisément à la fréquence des relations sexuelles dans le temps.
L’étude a été réalisée en 2014 sur une population de près de 7.000 hommes et femmes britanniques. Les participants ont été divisés en deux groupes : le premier a été suivi pendant 5 ans ; le deuxième, durant 7 ans. Les deux groupes ont ensuite été comparés et les chercheurs ont évalué le risque de décéder pour chacun des deux groupes au cours des 5 ans et 7 ans.
Le sexe augmente le risque de mortalité
Toutes les relations sexuelles sont évaluées, ainsi que le fait de boire de l’alcool, d’être dépendant à la drogue ou au tabac et les activités physiques et sportives. Des facteurs de risque comportementaux et psychologiques sont également inclus dans les analyses.
L’âge a un effet sur le risque de mortalité
En ce qui concerne l’âge des participants, le risque était deux fois plus élevé chez les femmes de 60 ans et plus que chez les hommes de 20 ans. Les facteurs de risque les plus courants étaient des antécédents d’infections au VIH ou d’hépatites virales, la dépendance à l’alcool et aux drogues, une mauvaise alimentation, un faible statut social et des antécédents de chutes et de blessures.
Le sexe et l’alcool augmentent le risque de mortalité chez les femmes
Les auteurs de l’étude ont ensuite analysé les données de 1.439 femmes qui ont participé à l’étude. L’étude a révélé que les femmes qui avaient des relations sexuelles régulières pendant les 7 premières années de l’étude étaient 25 % moins susceptibles de mourir d’un cancer du sein. Mais au cours des années 8, 10 et 15, le risque de mortalité est multiplié par deux.
Les relations sexuelles pendant les 2 premières années de la vie augmentent le risque de mortalité
L’étude a révélé qu’une relation sexuelle pendant la première année de la vie était associée à un risque de mortalité multiplié par 1,5 et 1,6, respectivement. Les relations sexuelles régulières dans la période de 2 à 5 ans sont également liées à un risque multiplié par 1,5. Enfin, les relations sexuelles régulières pendant les 5 premières années de la vie augmentent le risque de mortalité.
L’étude conclut à un risque accru de mortalité chez les hommes
Les hommes sont plus susceptibles de mourir s’ils sont déprimés, alcooliques ou abusent de drogues. L’étude a révélé que les hommes qui avaient des relations sexuelles régulières pendant la première année de la vie étaient 12 fois plus susceptibles de mourir d’un cancer du sein que ceux qui ne l’avaient pas.
Les femmes et les relations sexuelles à risque de mortalité
La plupart des relations sexuelles sont évaluées en fonction de leur fréquence au cours des 5 dernières années. Et les études ont révélé que les femmes étaient 4 fois plus susceptibles de mourir d’un cancer du sein que les hommes. Les chercheurs ont également découvert que le risque de décéder d’une maladie cardiovasculaire était plus élevé pour les hommes que pour les femmes.
Le risque de mortalité était 2 fois plus élevé chez les personnes qui avaient des relations sexuelles plus de deux fois par mois.
Des relations sexuelles à risque de mortalité
Il faut noter que l’étude n’a pas été réalisée à partir de statistiques sur le nombre de relations sexuelles. La BMA note que le nombre de relations sexuelles est un facteur de risque de mortalité très élevé, mais qu’il n’est pas spécifique à la fréquence des relations sexuelles. Les facteurs de risque de mortalité associés à la fréquence des relations sexuelles sont notamment liés à la consommation d’alcool, à la dépendance à la drogue et à l’usage de drogues.
26 octobre 2017
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>Economic impact of e-learning on university learning outcomes
Microsoft Technology Center, USA
E-learning has been extensively used as an academic tool. There are many studies to assess the impact of e-learning on learning outcomes. Aim of the current research is to analyze the economic impact of e-learning on university learning outcomes.
The research is based on data from the 2003-2005 and 2010-2011 academic years of the Institute of Technology at the University of South Carolina, USA (ITUSC). The university was established in 1915. The current research uses 1,445 students at the graduate level as the sample. The primary data were collected through student questionnaire survey and through in-depth interviews with the faculty and the administrators at ITUSC. The results show that the use of e-learning as an academic tool has a significant impact on students’ learning outcomes. It has an average effect on the students’ grade point average of 0.65, the percentage of students taking courses online from 17.6%, and the total enrollment number increased from 4196 to 4479. The results also show that the students who use online learning as an academic tool have higher levels of self-efficacy, and students’ self-confidence has increased significantly. The effect of the use of online learning on the student’s learning outcomes has also increased significantly. Moreover, the results show that the use of online learning has a significant impact on the student’s academic performance. The results also show that the students who use e-learning as an academic tool have higher levels of self-efficacy, and students’ self-confidence has increased significantly and the students who use e-learning as an academic tool have higher academic performance. The research shows that the use of e-learning as an academic tool has a significant impact on the students’ learning outcomes and that e-learning has an impact on students’ academic performance. The findings are based on the results of student questionnaire survey and in-depth interviews with the faculty and the administrators at the ITUSC.